Pour les uns je suis une toquée de Chine, pour d’autres j’ai des cheveux qui cris puent.
Mon cœur bat des rimes pour le rivage où les clivages ont les huent.
Alors à « il faut » je lui dirais « on vaut la liberté »
Bizarre d’oppresser pour des idées arriérées : « des vers de timbrés »
Appartenir pour exister ? l’ailleurs est tellement meilleur
La solitude salvatrice de penser autrement te traverse ?
Je n’ai pas la peau « so-money » alors je remonte le cours de ma vie…
Je démonte les vices sans préavis !
Marre à bout des regards des malappris
Je sors de la destinée par mes écrits…
Sauvage, libre où l’imagination irisée me sourit
Je n’ai que ma réalité
Une vérité d’ici et là s’en va… !
Ta valeur ouvre là à l’enfant bienveillant… !
JULLY Coralie "Lilly"
Merci... hihi
« Il faut douiller pour ta beauté »
par
Poème